Celui que j’aimais et espérais un jour épouser, devint mon mari et père de nos deux enfants. Le mariage, le travail et la charge des enfants, la présence de la Vierge Marie ont été vite oubliés jusqu’à ce qu’un premier événement douloureux perturbe notre vie: un de mes fils est transporté, gravement malade, en Centre Hospitalier Universitaire.
En larmes, je pénètre dans la Chapelle de ce centre et je m’en remets à Marie. La Vierge exaucera ma demande en épargnant mon fils. Mais d’autres moments douloureux se pointent à l’horizon : des tensions et des difficultés naissent avec des membres de la famille.
Dans ma jeunesse, j’avais eu l’espoir de former un foyer, d’avoir des enfants, de les rendre heureux et qu’eux aussi puisent un jour connaître ce bonheur. Malheureusement, un de nos enfants nous annonce le divorce de son couple. C’est un solide coup dur ! Une amie m’invite alors à l’accompagner quelques jours à Lourdes et, en la Basilique du Rosaire, je ressens soudainement une « force » que je ne puis décrire. Je me mets à prier le chapelet, et depuis lors, par moment davantage, il est devenu mon « must » quotidien. Cette force grandit de plus en plus en moi. J’apprends à comprendre la Foi et quand je ne comprends pas, une petite étoile (une personne) qui se trouve sur ma route, me l’explique. A mon retour de Lourdes, par la Foi, j’ai découvert qu’il y avait beaucoup de « lucioles » dans le village, et je me sens guidée.
N.T.